• ...

    Je parle avec des gens
    Leur souris de temps en temps
    Mais toutes ces filles avec qui je suis
    Je me moque bien de leur vie

    Je les trouve si superficielles
    Elles me coupent mes deux grandes ailes
    Elles sont pour moi insignifiantes
    Et pour cela je reste méfiante.

    Pourquoi suis-je dans ce monde
    Ce monde duquel je tombe
    Ce monde qui ne me plait pas
    Cette vie qui n'est pas pour moi.

    Moi j'aime les gens qui sont sincère
    Moi j'aime les filles d'une autre Terre.
    Mais j'en connais si peu
    Qui me ressemble un peu

    J'imagine les noms qu'elles porteraient
    Toutes ces filles que j'aimerais
    Elles s'appelleraient Loetiga,
    Romane où encore Mercurea.

    Rien que des filles de ma planète
    De Mercure, de Pluton, de Mars?
    Des filles vivant en un endroit
    Que je connais, je suis de là bas.

    Pourquoi suis-je dans ce monde?
    Ce monde duquel je tombe
    Ce monde qui ne me plait pas
    Cette vie qui n'est pas pour moi.

    Copyright Aurélie 2006 


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  • Je regarde ce miroir,
    Dedans une princesse noire,
    Une fille mélancolique
    Un monstre trop romantique.

    Suis-je vraiment comme cela?
    Je découvre l'autre moi
    Celui que les gens ne voient pas,
    Celui à qui je dirai "toi".

    Alors toi qui pleure si souvent,
    Tes larmes coulent depuis trop longtemps,
    Toi qui m'empêches de m'envoler,
    C'est toi que je vais détester.

    J'adorerais te voir mourir,
    J'aimerais tant te voir souffrir
    Je souhaiterais qu'enfin tu chavires
    Je rêverais de te faire sortir.

    Tu es si faible
    Si insignifiante
    Si laide, je te hais
    Tu m'entends, je te hais.

    Continue à souffrir
    Je n'en ai rien à faire
    Mais va t'en je t'en pris
    Laisse moi vivre ma vie.

    Je pleure pour toi,
    Je souffre avec toi,
    Je suis triste comme toi
    Et je mourrais sans toi.

    Parce que je t'ai acceptée
    Je t'ai laissée me consumer
    Et aujourd'hui moi je suis toi
    Car à present toi tu es moi.

    Je suis une princesse noire
    Je suis si romantique
    Je suis trop mélancolique
    Je suis la fille dans le miroir.

    Copyright Aurélie 2006 


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  • J'ai en moi une haine, celle qui fait que je souhaiterais parfois être quelqu'un d'autre, même si c'est impossible, je sais j'ai essayé. On ne peut se détruire, il faut s'accepté, c'est dur mais pour finir on y arrive, moi j'ai accepté le monstre que je suis, il l'a bien fallu. Mais je ne vit qu'à moitiè parce que le monstre est trop énorme, effrayant. J'aime la solitude parce que c'est dans c'est moment là que je vis à cent pour cent. J'écris la petite princesse que je suis, trop mélancolique trop solitaire, trop romantique, trop amoureuse, trop tout. Je suis juste noire, je suis tristesse et solitude, desespoir et haine. Je ne suis pas grand chose. Sans mon monstre je meurs, avec mon monstre je meurs aussi, ma mort est inévitable, je n'y échapperai pas, et si je dois mourir, autant que je choisisse quand et où. Heuresement, l'écriture est salvatrice, comme la lecture, aujourd'hui je vit pour cela, pour écrire et pour lire, le reste est superficiel, même si j'aime rire, il n'y a qu'une partie de moi qui rit. Je vis aussi pour aimer car la princesse noire sait le faire mieux que personne, je n'aime pas avec le coeur mais avec l'âme. J'aurais aimé me hair mais je ne le peux plus, je suis le monstre, le monstre est moi.

    Copyright Aurélie 2006 


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  • Quand tu me fûs présenté
    Immédiatement je t'ai aimé.
    C'est ainsi que je t'imaginais
    C'est comme ça que je t'espèrais

    J'ai hésité à te parler,
    J'ai eu si peur de m'attacher.
    Car moi j'avais d'embler compris
    Que tu prendrais place dans ma vie.

    Alors je t'ai regardé sourire,
    Je suis tombée comme on chavire,
    Dans un tourbillon de joie
    Et de tristesse à la fois.

    Une année de séparation
    J'ai trouvé cela bien trop long.
    Nos retrouvailles furent fusionnelles,
    Mon amitié pour toi est éternel.

    J'adore tes yeux qui sont si bleus
    J'aime ton regard remplit d'espoir
    J'aime te parler, rire avec toi.
    J'aime me confier un peu à toi.

    Te le sais bien, je te l'ai dit
    Quand tu es là, moi je revis.
    Tu sais que je te considère
    En quelque sorte comme un grand frère.

    Mais tu es parti ce matin
    Retourné dans ta ville si loin.
    Oui mais tu sais, on se l'ai dit
    On se reverra c'est promis.

    Tu as apporté un soleil
    Dans ma vie qui n'est pas merveille.
    Tu as pris place dans mon coeur,
    Je pense à toi un peu chaque heure.

    Quand je regarde tes photos
    Toutes celles où tu es si beau
    Je me partage et me déchire
    Entre les pleurs et le sourire.

    Le grand sourire quand je repense
    À tous les rires de ces vacances
    Et puis les pleurs quand je me dis
    Que tu es loin de moi, tant pis.

    Mais comme je te l'ai, dans au revoir il y a revoir, et tu sais que tout l'amitié que j'aurais pus te donner en un an, je te l'ai donné en une semaine. Le reste je le garde pour la prochaine fois, car je sais qu'on se reverra, encore souvent on rigolera, peut-être même qu'on en pleurera.
    Alors à toi, mon ami, mon frère je dédie ce que j'ai écris, j'attends chaque jour le moment ou je pourrai de nouveau te prendre dans mes bras et rire avec toi.

    Je t'aime et je t'adore, tu es une personne en or.

    Ta "Soeur"

    Copyright Aurélie 2006


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  • Cette nuit j'ai révé
    Qu'enfin tu m'aimais.
    Cette nuit j'ai imaginé
    Qu'enfin tu m'embrassais.
    Et mon coeur c'est accéléré
    Au contact de ce fruit interdit,
    Mes lèvres se sont enflammées
    Au touché de la bouche de l'amant de mes nuits.

    Tu m'as prise dans tes bras,
    Tu m'as serrée tout contre toi,
    Je sent la chaleur de ton corps,
    Lui si chaud contre le mien froid comme la mort

    Mais je me suis réveillée,
    J'ai chuté et chaviré.
    Jamais tu ne m'embrassa,
    Jamais tu ne me serra contre toi
    Jamais tu ne me pris dans tes bras,
    Jamais tu ne fût près de moi.

    Alors sans ton corps pour me réchauffer,
    Le mien se met à geler.
    Le désespoir peu à peu prend place
    Moi princesse je n'ai plus mon palace
    Je suis dans un désert de glace
    Mes lèvres rose se violace.

    Au milieu du désert glacé,
    Trone un magnifique lac givré.
    Et si je brisais le miroir,
    Pour me retrouver dans le noir.
    Pour pouvoir à nouveau rêver,
    De ton tendre baiser volé.

    Et si je me laissais couler,
    Saurais tu me retrouver?
    Dans les rêves où enfin je vit
    Ils deviendront mon infini.

    Je descend dans les eaux glacées
    Je laisse les courants m'emporter
    Dans les profondeurs de ce lac
    Où je t'attends c'est notre pacte.

    Le corps d'une petite Princesse
    Gît au fond d'un océan,
    Elle attend l'arrivée du Prince
    Elle attend depuis bien longtemps.

    Copyright Aurélie 2006


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