Les larmes de la danseuses roulent sur ses joues,
Viennent mourir sur ses lèvres et y laisse le gout
De la mélancolie ; elle regrette le temps
Où ses jambes la portaient au gré du vent.
L'époque ou la musique dirigeait ses pas,
Où les sons lui faisaient atteindre l'au delà,
Donnaient vie à son corps, lui faisaient quitter sol
Lui permettaient alors de prendre son envol
Et tel l'oiseau qui part pour d'autre continent,
Elle quittait cette terre, s'en allait lentement
Vers un monde meilleur un paradis enfouit
Tout au fond de son coeur, dans une ville engloutie.
Mais la colombe blanche perdit un jour ses ailes
Brisée par les efforts elle dut quitter le ciel
Abandonner ses rêves et son paradis blanc
Privée de tout espoir elle meure lentement.
ses jambes brisées ne la portent plus, elle s'en veut de l'avoir aproché, cet amant, cet amour blessant, qui de ses mots lui a coupé le sang du cerveau à ses jambes ... un simple non qui brise une vie ... très triste et joli ... I love it ! (ça va devenir une habitude ^^) bonne nuit !