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Mon coeur, assiègé par les vents et marés,
Usé par la violence de ces larmes salées
Qui m'ont tant de fois innodée, qui ont assassiné
Tous les rêves qui m'habitaient de par le passé.
Fatigué d'avoir trop aimé ces dernières années,
D'avoir donné tant de bonheur à ces hommes désirés,
Et de n'avoir eu en retour que des mots d'amours bafoués,
Des caresses sans tendresse, et des baisers volés
Donné sans sentiments, juste pour profiter
Du corps qu'ils avaient le droit de visiter.
Mon coeur, victime de trop d'attentats,
Trop de fois brisé et abandonné là,
Saigne et meure lentement à l'intérieur de moi,
Attendant le jour où sa vie s'eteindra.
Pourtant j' espère encore parfois,
Qu'un ange arrivera et qu'il le sauvera,
Que de ses longs doigts fins il pansera
Les plaies béantes, qu'il sera
Celui que j' attends depuis longtemps déjà
L'amour de ma vie, celui avec un grand A.
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Trois fleurs ont éclos dans mon coeur
Et l'ont éclairé de rayons de bonheur
Durant toute une année ont répendu la chaleur
De trois soleils brillants dans mon ciel en cette heure.
Trois princesses ont envahi mon royaume
L'ont illuminé de leur sourire et ont rédonné du baume
A ce coeur qui pleurait bien trop souvent parfois
Depuis qu'elles sont là il ne pleure presque pas.
Trois anges sont venues me sauver de la mort
Qui m'avait été annoncé il y a peu de temps encore
Elles m'ont tendues leurs mains et m'ont prétées leurs ailes
Pour qu'enfin je puisse m'envoler dans le ciel.
Trois filles d'ici m'ont offert leur amitié
Sont entrées dans mon coeur et n'en sortiront jamais
Trois fleurs qui dans mon ame ne pourront se faner
Qui ne deviendront jamais des débirs d'amitié.
Alors Pauline, Tiphaine, Nolwenn souvenez de ca
Souvenez vous que je ne vous oublierai pas
Et ces mois avec vous trois passés
Furent les plus beaux de ces dernières années.
Photo réalisée par Romaric
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Pourquoi a-t-il fallu que je croise ce regard
Si pénétrant qui m'a tant ennivré
Ces yeux remplis de lumière et d'espoir
Qui ont réveillé en moi des sentiments oubliés.
Pourquoi a-t-il fallu que j'aille lui parler
Que je me laisse envouter par sa si douce voix
Qui a eû l'étrange pouvoir de ressuciter
En moi des émotions délaissées autrefois.
Veux-tu donc à nouveau me faire souffrir
Comme tu l'as fais par le passé ?
Est-ce pour toi si plaisant de me voir mourir
D'amour et de chagrins incensés. ?
J'aimerais tellement que cet ange tombé du ciel
Soit celui que j'attends depuis si longtemps
Celui qui me donnera un amour éternel
Qui fera de moi sa reine toute sa vie durant.
Mais il faut que j'accepte la dure réalité
Tout n'est qu'une illusion provisoire et futile
Une espérance qui une fois assassinée
Se terminera en rivières de pleurs inutils.
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Amour, sentiment pur, si beau et attirant
Qu'on cherche sans relache toute une vie durant
Qu'on désire et envie à ceux qui le connaissent
Toi qui semble souvent aussi doux qu'une carresse.
Mais derrière ce masque tout en perles et rubis
Tu caches un visage effrayant d'infamie
Un regard terrifiant et un sourire narquoi
Dévolant le plaisir que tu prends chaque fois.
Le plaisir de faire souffrir tes adorateurs
Ceux qui part ta faute connaissent la douleur
La souffrance du coeur qui a tellement aimé
Et qui de tes mains un beau jour fut brisé.
Tu donnes à tes enfants le pouvoir de séduire
Tu leur fais don pour ca d'un sublime sourire
Tu leur offres à tous la beauté éternelle
Tu nous envoies sur Terre des anges sans leurs ailes.
Mais ces êtres humains angéliques et parfaits
Caches bien souvent un trop lourd secret
Vile Amour pour nous faire souffrir
Tu pris possession de leur coeur et le laissas pourrir.
Aujourd'hui ces personnes, remplies d'impuretés
Et au coeur sali, ne savent plus aimer
Et provoque la mort du coeur de tous ceux
Qui se sont par malheur trop attachés à eux.
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Tu vois sur mon visage la tritesse,
Je ne souris même plus et ca te blesse,
Tu vois que mon regard fuit le tien,
Supplie moi si tu le veux je ne dirai rien.
Je n'ai plus le temps d'écouter tes histoires,
C'est la toute dernière fois que l'on va se voir.
Il faut aujourd'hui que je cours si vite,
Il me reste peu de temps il faut que j'en profite.
J'ai mis un pied dans la tombe,
Je cours, je trébuche et je tombe,
J'aurais dû rester près de vous,
Ne pas aller si loin m'allonger dans la boue.
Au chaud dans mon cercueil il fait sombre,
Etendue les bras en croix dans ma pénombre,
Au dessus de moi l'orage gronde,
La pluie martèle de ses gouttes le monde.
Je pense à vous avant que la mort ne vienne,
Et si elle m'emenne n'ayez aucune peine.
Son souffle glacé envahit mon corps si frêle,
Je ferme les yeux et plonge dans le sommeil éternel.
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