Par
Lili-san1 dans
La Plume le
14 Juillet 2007 à 11:11
Allongée là telle une poupée
Je ne bouge pas suis-je condamnée
Ce soir à être torturée
Par mes boureaux, mes pensées.
De froides cascades de tristesse
Broient mon jeune corps et tuent l'ivresse
L'espoir s'en va dans une carresse
Sans un aurevoir il me délaisse.
Le silence se fait pesant
Mes songes deviennent oppressant
Tout s'arrêtera dans un instant
A moins qu'arrive mon prince charmant.
Sans un vétement et sans un bruit
Je sors discretement dans la nuit
Et sur la colline de l'oublie
J'offre mon corps au paradis.
Très jolie plume! J'adore la dernière strophe!