• Songes nocturnes


    Allongée là telle une poupée
    Je ne bouge pas suis-je condamnée
    Ce soir à être torturée
    Par mes boureaux, mes pensées.

    De froides cascades de tristesse
    Broient mon jeune corps et tuent l'ivresse
    L'espoir s'en va dans une carresse
    Sans un aurevoir il me délaisse.

    Le silence se fait pesant
    Mes songes deviennent oppressant
    Tout s'arrêtera dans un instant
    A moins qu'arrive mon prince charmant.

    Sans un vétement et sans un bruit
    Je sors discretement dans la nuit
    Et sur la colline de l'oublie
    J'offre mon corps au paradis.



  • Commentaires

    1
    Dimanche 15 Juillet 2007 à 18:26
    ***
    Très jolie plume! J'adore la dernière strophe!
    2
    Dimanche 15 Juillet 2007 à 23:53
    ¢¢¢
    merci beaucoup pour ton commentaire et pour ton compliment ^^ ça fait plaisir de te voir ici a+
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