• Tu m'as quittée mon amour, tu as décidé de partir, de refaire ta vie loin de la mienne.
    Mais embrasse moi, juste encore une fois, laisses-moi avoir chaud juste encore une fois avant de connaitre le froid et la mort de ton absence, prends moi encore dans tes bras, fais moi connaitre le paradis une dernière fois avant que je retombe en enfer. Donne toi encore à moi avant de t'en aller. Assure moi que j'existe une dernière fois puisque après, mon existence ne sera plus sure, puisque après je ne serai qu'une ombre, qu'un fantôme, que la moitié de moi.

    Je t'en supplie ne part pas, reste là, reste avec moi, moi qui t'aime tant, moi qui ne vis pas sans toi. N'oublie pas que j'existe. Aimes-moi comme avant, aimes-moi encore plus fort.

    Moi je t'aime tant.

    Copyright Aurélie 2006


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  • Voilà, ça c'est mec super qui écrit des choses merveilleuses, qui aime Amélie Nothomb Robert et pleins d'autres choses.

    Il a un coeur énorme et mérite vraiment qu'on le connaisse. En Octobre 2006 un de ses textes sera interprété sur scène par Jann Halexander. Et Sylvain le mérite. Voilà il a aussi ouvert un forum pour jeune talent.
    Il faut vraiment que vous alliez voir ses blogs et son forum.

    Je vous laisse les adresses:
    Blog de Sylvain: http://unutma02.skyblog.com/
    Blog des textes de Sylvain à voir à tout prix: http://mes-chansons.skyblog.com/
    Forum pour jeune talent: http://jeunes-talents.forumpro.fr/index.htm


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  • Amélie

    Moi je lis tes écrits
    Eux ils m'offrent ta vie.
    Je te découvre, Amélie
    Petite japonaise amputée de ton pays.
    Je bois tes mots,
    Je m'ettoufe avec eux
    Mais je ne m'arrête pas,
    Je les dévore,
    Ils entrent en moi,
    Me pénètrent lentement.
    J'ai faim de toi Amélie,
    Faim de la faim.
    Tes mots m'emportent,
    Dans chaque mots je te vois Amélie,
    Je vois ton long regard,
    Qui m'attire vers toi.
    J'entends ta douce voix
    Qui m'étrangle de ses longs doigts.
    Des phrases me font souffrir,
    Des passages me font rire,
    Des mots me révulsent,
    Je jouis de ta si belle écriture.
    J'aime ta langue, Amélie,
    Se confondant au Français
    Elle qui est Nothombienne.
    Sublime Amélie tu m'as ouvert
    Les portes d'un paradis, d'un néant, d'un enfer
    Où il n'y a que toi et moi.
    J'ai si mal de refermer tes livres,
    Si mal de te quitter.
    De part tes écrits
    Tu es entrée dans ma vie
    Et jamais je ne t'en laisserai sortir
    Je vis avec toi en moi
    Pour le meilleur et le pire.

    Copyright Aurélie 2006 


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  • Aujourd'hui m'a été offerte
    Une poupée aux grands yeux verts
    Au long cheveux noirs et tombant.
    En grande robe couleur rouge sang.

    Je l'ai regardée un moment
    Me suis approchée doucement
    Ai plongé mes yeux dans les sien
    L'ai prise gentillement par la main.

    Soudain ma belle poupée s'anime
    Elle serre mes doigts de sa main fine,
    Elle me regarde, m'attrape le bras,
    Elle m'a envoutée ce jour là.

    Sa jolie bouche maintenant enchaine
    Des mots, des phrases remplies de peine,
    Ma poupée appelle sa maman
    Lui demande de l'aimer comme avant.

    Poupée, princesse tes yeux s'emplissent
    Des larmes qui à présent glissent,
    Sur tes belles joues de porcelaine,
    Tu me captures jolie sirène.

    Alors moi je pleure avec toi,
    Je verse des larmes comme toi
    À cause de ta voix de crystalle,
    Qui m'émerveille, apaise un mal.

    Poupée tu te mets à valser,
    Tes longues jambes se mettent à danser
    En plus de chanteuse crystalline
    Tu es une sublime ballerine.

    Et moi je me laisse envouter,
    Ta voix me fait me fait tourbillonner,
    Et je te suis les yeux fermés,
    Dans le monde que tu as créé.

    Copyright Aurélie 2006 


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  • Je rencontre une personne, je tombe amoureuse, je le surnomme Prince. Je ne vit que pour lui, je ne vis plus sans lui. Je rêve sans cesse de lui. Et puis un jour je me décide, je vais lui déclaré ma flamme. Lui il répond qu'il m'aime aussi par des formules des mots sublimes. Je connais enfin le bonheur, j'ai l'impression d'existé, je compte pour quelqu'un. Ma vie devient une fête.
    Je le laisse m'embrasser, j'attends que l'histoire se prolonge.
    Et puis un jour je lui dit viens, je le prends par la main, je le laisse pénétrer dans ma chambre pour un soir.
    Lui il carresse mon corps, il m'embrasse dans le cou, il me jure qu'il m'aime, mon je le crois sans peine.
    Alors il me déshabille, il ôte ma longue robe, dégraffe mon soutien gorge, met sa bouche sur mes seins.
    Il descend lentement, il m'enlève le bas, et moi je me laisse faire.
    Il m'allonge sur les draps, enlève ses vétements, se présente nu à moi.
    Et puis tout s'accélère, je l'enlace et l'emprisonne de mes longues jambes écartées, mes cuisses se contractent.
    Alors lui, il pénètre mon ventre, me fais souffrir un peu. Son corps se contracte en même temps que le mien, nous sommes réuni.
    Et je jouïs avec lui, de ce contact de chair, de deux corps en ébat, se découvrant enfin.
    Pour moi c'est parce qu'il m'aime, qu'il s'ecxite sur mon corps, c'est comme une preuve d'amour.
    Soudain il se retire, s' habille sans même me regarder, me salue et sans va.
    Il a eu ce qu'il voulait, il n'a plus besoin de moi.
    Il me revient le soir suivant, me déshabille et recommence. Et cela pendant plusieurs soirs. Je commence à prendre gout au sexe.
    Mais au beau soir, il ne vient, je téléphone, ça ne répond pas. Moi paniqué et apeurée. Je vais chez lui, je sonne une fois. Mais personne ne me répond. Je pousse la lourde porte de bois. Je traverse le grand couloir, ouvre chaque porte les-unes après les autres. Soudain, j'ouvre la mauvaise porte, celle de sa chambre. Là, je le trouve allongé, sur le corps d'une brune excitée.
    Je m'en vais en courant. Arrivée chez moi, je me jette sur mon lit, je pleure je gémit. Je me morfond.
    Je m'en veut de l'avoir tant aimé, de lui avoir offert mon corps. Je suis triste et désespéré, seule avec un corps souillé.
    Il ne m'aimait que pour mon sexe, pour mes seins mes jolies fesses. Je le hais, je me hais, je hais l'amour et ces nuits où je l'ai laissé me pénétrer.
    Alors voilà, on aime un mec, on lui donnerai ciel et terre et lui la seule chose qu'il nous laisse, c'est le remord et le regrets. Alors pourquoi aimer?

    Copyright Aurélie 2006

    Il ne s'agit pas de moi ici, juste de mes idées....profondes.  


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